Une maison, un personnage et une longue descente dans la folie.
Que faire quand le petit vélo qu'on a dans la tête commence à s'emballer, et même en est-on conscient ? Frustrations, tentations, traumatismes du passé, envie de laisser s'exprimer cette petite partie de nous, égoïste, qui veut mordre la vie à pleine dent au détriment des autres, des lois, des bonnes convenances.
Tout le monde se retrouve dans ce personnage à un moment ou un autre ce qui augmente d'autant plus le malaise.
Ou est la limite entre le désir, le souhait, et l'obsession qui mène aux actes les plus monstrueux ?
